Oups' private jokes.

des tout p'tits noursons tout ronds..
oh j'ai un koala sur le dos !
c'est marrant, la vie.
arrête de pleurer, c'est tous des crétins.
mais elisa un trou ça se bouche !
eh, tu crois qu'il y a des voisins ?
mais j'adore !
attends, mais tu crois qu'il va se boire un coca en peignoir tous les soirs ou c'est juste pour nous ?
à ton avis les gens ils remarquent qu'on a les mêmes bottes ?
oups !
serre ton bonheur, saisis ta chance, va vers ton risque, à te regarder ils s'habitueront.
fuck...
sont trop méchants les gens.
j'ai trop envie de me lècher les seins. bin vazy, fais toi plaise. je peux pas, ils sont trop loin. oh moi je peux. salope !
chaleur ce soir..!
on verra bien.
j'ai pas de rideaux dans ma tête.
c'est trop bon !
t'inquiète ça gère.
on va tout déchirer, on va mettre le feu, tu vas voir.
sale garce !
on a besoin de quoi pour l'appart? je sais, elisa : on achète des capotes ?
nan, mais sinon j'te paye en autre chose si tu veux.
eh c'est la première fois qu'un mec plie un de mes strings.
mais nan, en fait je suis plutôt en train de me dire : mais pourquoi je l'aime autant cette bouffonne ?
eh garçon...
arrête de raconter de la merde steuplé.
tu serais mignonne si...
mais arrête tu me psychotes !
oh le crétin avec un grand K !
putain elisa j'me rappelle pas des trucs de merde que t'as dit, pourtant t'en dis trop ! j'suis trop égocentrique comme meuf.
je t'aime ma femme.
bâtardise !
truc de ouf / truc de oups !
tu vois, ce que je me dis, c'est que ce qu'il m'a dit, il lui dit aussi, et donc que ça voulait rien dire, puisqu'elle est moche.
bordel.
mais mec c'est pas grave de baiser une salope. ça peut arriver à tout le monde.
jule... ça va pas. / elisa, je bade.
bon, c'est l'heure de ma clope.
jule tu me fais un thé à la menthe ? / elisa tu me sors une bière ?
de toute façon on les emmerde. c'est clair !
bon, on s'arrache ?
oh c'est la brosse du chat !
j'ai ramené libellule. t'as pensé à coccinelle?
soirée britney + shokobons ?
tu sais, les femmes quand elles sont enceintes, des fois leurs maris ont des nausées à leur place. bin mes plaques rouges, c'est pour partager la douleur de tes tatouages !
tu crois que si je me fais des gros seins il sera amoureux de moi aussi ?
oh putain la honte / l'affiche.
c'est jouissif.
jule, tout le monde croit encore qu'on est lesbiennes.
pas touche à ma femme !
eh garçon tu lui parles pas comme ça !
pourquoi ça m'arrive toujours à moi ?
oh le bad...
c'est chanmé ! c'est chelou... ça déchire.
attends elisa y'a ton chat qui m'a sauté sur la gueule !
faut abs qu'on chourave ce poster, on le mettra dans nos chiottes plus tard.
ça me ferait trop plaise.
jule, j'ai mal aux pieds.
le seul truc bien de cette soirée, c'était le taxi du retour. 
attends y'a julia qui fait un strip tease devant la fenêtre.
allez elisa, fais moi rêver, bouge ton corps.
je me suis dit que ça allait grave le faire chier, mais c'était pour l'esthétique.
eh c'est trop marrant j'suis en train de faire du sable doux avec des cendres.
mais on s'en bat la race ! ouais t'as raison...mais nan c'est pas vrai !
ah bah c'est malin.
ci-git ta mère.
les sales gosses sont dans la place.
elle est tellement trop cheum ! attends mais regarde moi cette pouffe...
stop it please.
mais tu vois, si on les voyait, ça se passerait pas comme ça.
ça tu vois c'est le genre de trucs qui m'illuminent ma journée.
putain on est adultes !

Comments

[Angéline]

Et l'autre jour je me disais quelle douleur au fond de mon ventre, quelle douleur, je pensais à lui, je me disais, quelle douleur à propos de mon ventre mais c'était l'image de lui qui venait dans mon esprit, et j'avais mal parce que je sentais que le mécanisme était enclenché, c'était quand ? Un jour. L'autre. Et j'ai pensé : mon Dieu, pas encore. Non. On a froid, on est pas bien, ça dépend mais je suis plus agressive et quand je suis plus agressive, je suis forcément plus méchante, t'es pas sympa qu'on me dit, et ensuite je l'écris. Donc quant on l'écrit, on devrait se sentir mieux mais non. Nan. Tant pis qu'on se dit, c'est le froid, c'est la vie et c'est lui, dans ta tête, tu fêtes et tu dégustes et tu te dis qu'ils existent dehors les morts, sans délirer, c'est ton problème d'être folle de lucidié, de lui à aimer mais tu sais que de toute façon, c'est un pénis comme un autre qui t'a bien servi jusqu'à la dernière goutte de citron. Et si on faisait un enfant, et si on allait au cinéma, et si on écrivait sur nos doigts ?